On observe quelques similitudes avec l'arbitrage. En effet un progrès est visible car les femmes journalistes sont plus nombreuses. Elles sont souvent célibataires pour les besoins de la profession. Comme la profession est masculine, les femmes subissent des discriminations comme le fait d'avoir plus de mal à s'infiltrer dans les "réseaux professionnels" soit la haute hiérarchie du sport. Le salaire est une autre source de ce trouble mais il touche tant d'activités que cela paraît normal.
Les femmes journalistes ont moins l'occasion d'écrire d'articles sportifs car le nombre de sports couvert par leurs articles est restreint et sont souvent les sports les moins populaires. Mais on doit différencier les quotidiens sportifs comme l'Equipe et les quotidiens généralistes comme Le Monde. Les quotidiens généralistes laissent plus volontiers les femmes écrire sur le sport que les journaux sportifs. On peut dire que la proportion passe du simple au double. Chiffres à relaviser car l'effectif des journalistes sportifs dans les quotidiens généralistes sont bien moins nombreux que dans les quotidiens sportifs.
Enfin les journalistes n'ont pas accès à tout les sports. Certains sont même "interdits" aux femmes comme le football, les sport de combat. La raison étant de mettre les journalistes dans les sports féminins par excellence où il y absence d'hommes journalistes comme le patinage artistique, la gymnastique, la natation synchronisée...
Enfin comme pour les sportives on a des journalistes sportives qui ne sont pas choisi que parce qu'elles connaissent le sport qu'elle présente. Notre choix a été porté sur les journalistes qui parle du PMU. Il faut penser que mettre des femmes dans ces émissions équestres ont un but purement commerciale. Ceci devrait faire couler de l'encre chez les journalistes et pourtant on en voit pas la couleur.
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pour plus d'information:
http://afsrt31.u-paris10.fr/IMG/pdf/AFS_2009.pdf
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